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mais d’où ça vient donc tout ça ?

    Notez le bien    4 janvier 2018

vous devez vider une maison ou un appartement ?
débarrasser une cave,  ou un grenier ?
la cour ou le jardin sont à ranger complètement ?

débarrassez vous de vos débarras !

encombrez moi de vos encombrants !

contactez moi…
je m’occupe de vos encombrants, redonne vie à ceux en bon état, j’emmène les autres à votre place en déchetterie, et vous rends le logement après avoir passé même un coup de balai par terre !
17 ans d’expérience à votre service

que ce soit avant une vente, suite à une entrée en maison de retraite, lors d’une succession…
qu’il s’agisse de quelques objets ou d’une maison entière…
bien sur, j’enlève tout, le bon comme le mauvais, je ne prends pas uniquement ce qui m’intéresse…

avant toute intervention, une simple visite permettra de vous renseigner sur la durée du chantier comme sur son coût.
pas de surprise : devis gratuits sur simple demande ; ce sont les objets en bon état que je récupère qui me rémunèrent via les « annonces du père yves ».
selon qu’il y en a de récupérable ou pas, il y a intervention gratuite ou payante.
mais de toute façon les prix sont toujours connus à l’avance, et sans surprise.

interventions depuis Beuzeville (27) jusqu’à Dozulé sans oublier Pont l’Evêque,
mais aussi de Honfleur jusqu’à Lisieux, sans oublier Cambremer ou Livarot
ou encore de Trouville sur Mer jusqu’à Cabourg, sans oublier Villers sur Mer

n’hésitez pas à me contacter !
même pour de simples renseignements…

Yves-Marie Laurelli (alias Le Père Yves)

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Le Biffin n’achète rien !

    Notez le bien    26 décembre 2017

« mais, VOUS DONNEREZ BIEN UN PETIT QUELQUE CHOSE pour les meubles ? »

et non, rien du tout de chez rien du tout, le biffin n’achète pas…

ou plutôt, il n’achète pas avec des sous, plutôt avec son temps.

parce que, bien sûr, il y a des meubles et objets récupérables, mais le biffin, il ne fait pas son marché quand il vient chez vous pour vider.

les commerçants, qu’ils soient brocanteurs ou antiquaires, vous achètent les meubles parce qu’ils ne prennent que ce qu’ils choisissent en faisant leur marché chez vous.

et ce qu’ils ne prennent pas, c’est à vous de vous débrouiller avec…

c’est vrai que c’est toujours sympa, à plus de 80 ans, de descendre tout des étages par l’escalier pour mettre la voiture en break et tout emmener en déchetterie…

le biffin est artisan. il n’achète pas pour revendre, il vous rend un service de débarras intégral.

bon, les déménageurs peuvent aussi le faire, et sans garder vos meubles, mais c’est pas tout à fait les mêmes tarifs…

j’ai eu vent d’une expérience où le biffin achète les meubles et facture le temps qu’il passe à évacuer le reste ; pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? au final, c’est l’argent qu’il vous aura fait miroiter pour l’achat des meubles qui servira en partie à le payer pour le débarras…

dans un débarras intégral d’habitation, il y a en moyenne au mieux la moitié qui est récupérable.

sur la moitié restante, une (grosse) partie peut être amenée aux filières de recyclage (vêtements, verre, fer, bois, carton), et le reste (au pire 20 %) n’a d’autre devenir qu’être brûlé ou enfoui dans les déchetteries.

c’est mon temps passé à cette seconde moitié qui peut être considéré comme paiement des meubles…

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Comment ça marche ?

    Notez le bien    25 décembre 2017

ici, vous n’êtes ni à la Redoute, ni aux 3 Suisses ni chez Amazon. vous n’êtes pas non plus sur le bon coin, paru vendu ou je ne sais quel autre marchand d’annonces derrière lequel se cachent des annonceurs peu scrupuleux…

le Père Yves, c’est le biffin au net honnête !

mon objectif, c’est que vous soyez durablement contents de vos emplettes chez moi ; et si d’aventure il y a un os, vous me retrouvez sans que je parte en courant à travers les herbages…

par contre, Le Père Yves n’est pas une enseigne de vente par correspondance.

ce site, c’est la vitrine de ce que vous pouvez trouver à l’atelier.

au fur et à mesure des entrées et sorties, la vitrine est mise à jour.

vous pouvez m’indiquer à partir de chaque annonce ce qui vous intéresse (ça évitera que ça vous passe sous le nez dans l’intervalle)

et le principe de base, c’est que vous veniez à l’atelier au moment qu’on aura convenu ensemble !

à bientôt,

le père yves

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Le Père Yves est un Biffin

    Notez le bien    24 décembre 2017

J’exerce le vieux métier de Biffin. A la différence d’un brocanteur ou d’un antiquaire, qui achète pour revendre, je vide intégralement des maisons, et ce qui me paye, c’est ce que j’y récupère (à partir du moment où c’est en état de vous intéresser, évidemment…)
Et comme l’espérance de vie s’allonge, les personnes âgées entrent en institution de plus en plus tard, à un âge où leurs propres enfants ont déjà tout ce qui leur faut, merci. Par contre, ils n’ont plus nécessairement la force qu’il faut pour vider entièrement une maison. Et la génération d’après, c’est plutôt ikéa et lingettes !
Du coup, c’est là que j’interviens.
Cela vous explique que la plupart des meubles ont l’âge des capitaines, autant dire que la majorité des meubles date d’avant 1960, et parfois se glisse une exception…
Il n’y a pas que des meubles par ici, même si vous trouverez bien sûr chaises, tables, fauteuils, buffets, armoires et autres sellettes… Non, vous aurez vraiment le choix aussi dans la vaisselle, que ce soit les verres (avec ou sans pied), les assiettes (plates, creuses ou à dessert), les tasses (thé, café, petit déjeuner), les carafes, les plats (incurvés, plats, ronds, ovales…). Mais n’allez pas croire qu’il n’y a pas de bibelots : statuettes, vases, étains, cuivres vous attendent également par ici.
Bien sûr, quand je vide une maison, je ne suis pas à l’atelier.

Alors, pour simplifier les choses et éviter de trouver porte close, j’actualise tous les jours les annonces.

A chaque fois, vous trouvez plusieurs photos ainsi que les dimensions, c’est quand même le minimum. A partir de là, vous avez juste à me signaler les annonces qui vous intéressent avec un mail à sanssouci.samedi.laurelli@gmail.com ou encore téléphonez-moi au 06 16 925 154…, et je vous proposerai en retour un rendez-vous pour vous recevoir à l’atelier ! C’est aussi simple que ça !

à bientôt,

Le Père Yves

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Bienvenue chez le Père Yves !

    Notez le bien    23 décembre 2017

N’oublions pas l’essentiel : je vous souhaite le bon jour !

***

Ici, ce n’est pas une brocante (un brocanteur, il achète ce qu’il va revendre ; personnellement, je n’achète rien.) C’est plutôt un joyeux bric à brac (certains disent un bazar, d’autres un capharnaüm, mais ceux là sont des médisants, hi hi hi).

Vous trouverez ici les trésors que je rapporte quand je fais des débarras dans les maisons. Vous trouverez toutes les informations à ce propos sur http://www.vidonslamaison.blogspot.com  !

Si vous cherchez quelque chose de précis et ne le trouvez pas dans ces annonces, n’hésitez pas à m’en parler par mail, because tout n’est pas ici en annonces, et les greniers du Père Yves sont assez conséquents !

Donc, bien que ce soit des annonces de professionnel, il n’y a pas une boutique derrière où on pourrait venir se balader quand on y pense parce que «le monsieur il est là à nous attendre» (et c’est quand que je viderais les maisons, alors ?).

Je ne reçois que sur rendez-vous.

Je suis sur une logique d’atelier, pas de boutique.
Donc, il vaut mieux me signaler les meubles qui vous intéressent à partir de chaque annonce concernée.

Si l’envoi de mail pose problème sur le site, vous pouvez me l’adresser par mail à sanssouci.samedi.laurelli@gmail.com ou un sms au 06 16 925 154.
D’une part, cela évite qu’ils soient vendus avant votre venue (si je ne sais pas que ça vous intéresse, je ne peux pas le deviner non plus, n’est ce pas ?) ; d’autre part, cela me permet de les déstocker le cas échéant (une tendance persévérante me prouve d’ailleurs qu’il suffit que je range un meuble dans le fond d’un box, et que je remette ensuite des choses devant, pour qu’il se mette instantanément à intéresser tout le monde…)

J’entends bien que, pour certains, prendre rendez-vous avant de venir est contraignant.

Seulement ici, c’est un espace de détente pour les visiteurs : pendant le temps que vous voulez, vous pouvez prendre votre temps pour regarder, vous poser, sans être bousculé ni interrompu par d’autres clients, et sans avoir à attendre après eux non plus.

Pour ceux qui aiment la foule et le stress, je ne peux que conseiller d’aller dans des boutiques traditionnelles, où parfois vous serez mal accueillis uniquement parce que le boutiquier est à cran d’avoir attendu toute la journée tout seul dans sa boutique en n’ayant rien vendu…

Chacun son truc, ici c’est no stress land !

Pour les «arts ménagers», c’est possible de venir fouiner (toujours sur rendez-vous, parce que si je suis parti vider une maison vous allez vous casser le nez), et sans avoir besoin de me signaler avant ce qui vous intéresse.

Tant que vous voyez l’annonce, c’est qu’elle est encore disponible, car je les actualise au fur et à mesure.

D’ailleurs, n’hésitez pas à lire les annonces…

Je passe quand même du temps à prendre les annonces et les photos, et quand je vois les questions que je reçois, c’est à se demander si je ne bosse pas pour des prunes, hi hi hi…

Concernant la vaisselle, je ne fais plus les expéditions pour ce genre d’article.
En effet, la mécanisation du tri postal fait que les colis arrivent par tapis roulant dans un container.
Le poids des colis varie entre 100 grammes et 5 kilos ; l’état de la vaisselle dépend donc du remplissage du container comme du colis qui est derrière, ce qui rend les choses trop aléatoires, à moins de se spécialiser dans la mosaïque….

En ce qui concerne «les sous», vous pouvez me régler par chèque (et oui, ici, ils sont encore acceptés), par CCP ou par Paypal. Par contre, je ne prends pas la carte bleue, toujours dans l’optique de diminuer les frais, puisque ça contribue à avoir des prix bas…

Les tarifs de la vaisselle sont très simples à comprendre. A l’unité, s’il s’agit d’un modèle que je récupère assez facilement, c’est 1 €. Si le modèle est plus ouvragé, c’est 2 € l’unité. Et si c’est un modèle que je rentre rarement, c’est 3 € la chose. 1, 2, 3, c’est simple à retenir, non ?
Evidemment, je tiens compte de la quantité que vous prenez. Par exemple, si vous prenez 6 verres, vous n’en payez que 5 et je vous en offre 1.

Pendant qu’on est sur les prix, précisons un truc.

Moi, je ne suis pas plus machu qu’un autre, et je peux entendre que, en ces temps de disette, vous avez du mal à joindre les deux bouts.

Mais dans ce cas là, au lieu de commencer par me dire que je suis trop cher (ce qui n’est jamais très agréable à ouïr), proposez moi le prix que vous pouvez y mettre. Je vous dirai si ça passe… ou pas. En toute simplicité.

Pour les livraisons, je peux vous rendre ce service tant que c’est dans le Calvados, et je ne vous demanderai que le remboursement de mon carburant sur la base de trajet aller retour (ben oui, moi non plus, je n’ai pas trouvé le bon coin où le gasole serait gratos !)

Maintenant, vous pouvez aussi venir chercher ce qui vous intéresse à mon atelier. En plus, le pays d’auge, ce sont de beaux paysages, alors ça vous fera une belle ballade.

Suffit de s’organiser un petit rendez-vous de derrière les fagots…

Bon, comme mon atelier est en pleine campagne, le plus simple sera de nous retrouver sur le parking à l’arrière de l’église. Pour autant, n’allez pas croire que vous allez vous retrouver en face d’un curé défroqué !

C’est pas que j’aie quoi que ce soit contre, mais simplement, ce n’est pas le cas. Le Père Yves, c’était déjà mon surnom, alors, puisqu’on me connaissait comme ça, j’en ai fait mon enseigne…

Petite précision utile : je consulte mes mails avant de partir le matin et en rentrant de chantier le soir : donc, préservez vos nerfs, c’est normal que je ne vous réponde pas dans la journée…

Si vous avez réussi à lire jusque là et que vous continuez à avoir le SOURIRE, c’est bon signe ! alors…

Bonne lecture et… à bientôt !

Le Père Yves

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Le Père Yves a eu les honneurs de la presse…

    écritures du Père Yves, Éphéméride, le monde d'aujourd'hui, Notez le bien    22 décembre 2017

début 2017, Delphine, une journaliste du Pays d’Auge m’a rendu visite et découvert l’atelier…

et, un vendredi 13 (!), l’article est paru. et en plus, l’article est carrément conforme à l’entretien que nous avons eu ! c’est cool…

bon, à nos âges, être presbyte n’est plus un mauvais jeu de mots, mais une réalité, alors je vous ai capturé une version de l’article un peu plus facile à lire…

Le Père Yves fait visiter son temple aux mille trouvailles

Un charbonnier est maître chez soi. Le Père Yves, lui, ouvre sa caverne d’Ali Baba à qui le lui demande. Chiffonnier de métier, il vend à des prix imbattables pléthore de meubles anciens et vieux objets.

Publié le 16 Jan 17 à 12:00

Au Torquesne, chaque box a son utilité. Et le Père Yves sait où tout est rangé. 

Yves-Marie Laurelli, dit le Père Yves, est un « biffin ». Soit un chiffonnier en vieux français. Il débarrasse les maisons et offre une seconde vie aux meubles et autres bibelots, qu’il répare, range et entrepose ensuite dans ces anciens boxes à chevaux qu’il occupe, sur la propriété d’un ami au Torquesne.

Une vraie caverne d’Ali Baba que ce personnage haut en couleurs ouvre volontiers aux visiteurs. Car, incontestablement, le Père Yves aime les gens, et c’est sans nul doute l’une des raisons qui ont poussé cet ancien directeur de structures sociales à choisir cette nouvelle activité professionnelle, voilà cinq ans maintenant.

Prix modiques

Salopette bleue, casquette savamment vissée sur la tête et pipe au coin du bec, le Père Yves reçoit les curieux, amateurs de vieilleries ou de souvenirs d’enfance (À la recherche du temps perdu) sur rendez-vous, et leur fait visiter l’antre de sa caverne aux mille trésors. Meubles, vaisselle, électroménager, tableaux et autres bibelots datant d’un autre âge sont récupérés dans les maisons que le biffin augeron débarrasse à longueur d’année. Son attirail, il le range ensuite soigneusement dans des box où tous les espaces sont optimisés.

Les prix, eux, défient toute concurrence : des fauteuils à 30 €, des verres à 1 €, des chaises empaillées à 5 €, des commodes à 75 €, et les gros meubles style buffets, pour les plus chers, ne dépassent jamais 500 € :

Je préfère une logique de petits prix pour faire plaisir à un maximum de gens et permettre une rotation de l’espace.

Avec 42 débarras de maisons opérés en 2016, le Père Yves assure des arrivages de nouveautés pratiquement chaque semaine.

En plus de prix abordables, les meubles du Père Yves sont loin d’être de la camelote : « La moitié de mes chantiers concernent des maisons appartenant à de personnes âgées entre 85 et 90 ans qui entrent à la maison de retraite. Quand on achetait des meubles à l’époque de l’après-guerre, c’était pour la vie ! Et surtout, on ne jetait rien : je tombe souvent sur des maisons pleines comme un œuf. Les enfants n’ont pas toujours la possibilité ou le courage de s’occuper de débarrasser ».

Les prix du Père Yves défient toute concurrence !

Brocante 2.0

Pas question de tout jeter à la poubelle pour autant : outre l’utilité sociale de ses débarras, le Père Yves pense aussi à la planète. Loin de la société de surconsommation, « quand je vide une maison, il y a la moitié du volume que je suis susceptible de récupérer. Sur la moitié restante, 30 % est recyclable (linge, bois, fer, verre et carton), donc je ne jette vraiment à la poubelle que 20 % ».

Pour présenter tous ses objets de bric-à-brac, le Père Yves a créé une véritable vitrine numérique bien à lui : le soir, après sa journée de travail, il « s’amuse » à mettre en ligne sur son site Internet des petites annonces pour chacun de ses objets, avec photo et commentaire personnalisé à l’appui, s’il vous plaît ! Le ton est donné…

Un parcours professionnel atypique
Originaire de Honfleur, « né natif » même, c’est sûrement dans la cité des peintres que, très jeune Yves-Marie a commencé à nourrir ses rêves de biffin. « Entre l’école et chez moi, il y avait la salle des ventes. Et le lundi, Maître Dupuy mettait ses objets non vendus sur le trottoir pour être ramassés par le camion-poubelle. Un jour, en passant devant, j’ai trouvé de vieilles babioles que j’ai bourrées dans mon cartable, et mon père m’a pris la main dans le sac. Je me souviens qu’il me disait, quand tu seras grand, tu feras chiffonnier si tu veux mais en attendant tu fais tes devoirs. Je crois que je l’ai écouté», raconte-t-il, l’œil rieur.
Après des études de droit, puis de sociologie, Yves-Marie a d’abord exercé en Alsace pour revenir au Havre en 1996, occuper un poste en insertion sociale et professionnelle. À Honfleur, il a occupé la fonction de directeur du Plie (Plan local pour l’insertion et l’emploi) qu’il a lui-même créé. Puis Yves-marie s’est mis à son compte et a créé un cabinet d’ingénierie sociale et a travaillé avec la Ville de Trouville. Il a d’ailleurs créé l’association d’insertion trouvillaise Place Nette. Aujourd’hui, il occupe toujours un poste de chargé de mission à la mairie de Trouville, à temps partiel.

Delphine Revol Le Pays d’Auge

SociétéLe Pays d’AugeNormandieTorquesne

Grand MERCI à celles et ceux qui ont participé à cette belle aventure…

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magiques sensations

    Notez le bien    21 décembre 2017

« vous devez en trouver, des trésors… »

ben voyons, c’est bien connu, je suis un sacré veinard qui dégotte des lingots sous les matelas chaque semaine !

soyons sérieux, les gars les filles, les gens qui m’appellent à la rescousse savent quand même ce qui se niche chez eux ou leurs parents…

par contre, il y a toujours de belles surprises et ça, ce sont mes trésors à moi…

c’est d’ailleurs la partie excitante du job, lorsqu’on démarre le chantier et qu’on vide armoires et placards.

là, j’ouvre une parenthése.

ça y est, c’est fait.

quand je vide armoires et placards, je ne le fais pas comme un sauvage en balançant tout par terre. je le fais comme vous quand vous déménagez, c’est à dire avec respect.

fermons la parenthèse.

)

et souvent, ce sont dans les recoins les plus perdus de la maison, au fond d’un meuble, dans le grenier ou dans la cave, qu’on trouve les plus belles surprises.

mais ça ne veut pas dire qu’on va toucher le pactole !

non, simplement, on découvre un objet inattendu dans cette maison, un truc qu’on trouve rarement, et même parfois il faut compulser de vieux bouquins pour découvrir quel en était son usage…

ou encore, au fil des pièces qu’on vide, on reconstitue tout un service de verrerie ou de vaisselle, certaines pièces se trouvant dans la cuisine, d’autres dans le séjour, quelques pièces dans les chambres et salles d’eau, d’autres dans la cave, certaines dans le grenier… et au final, plutôt que quelques éléments disparates, on se retrouve à la tête d’un ensemble.

il y a aussi les mystères à rallonges.

parce que parfois, dans le fatras poussiéreux d’un grenier, vous repérez une vieille carafe, mais ce n’est que plus tard, quand vous l’aurez lavée, que vous saurez si elle brille de mille feux ou si la laver vous fait découvrir fissures et accrocs !

et tout ça, ce sont les vestiges d’une époque disparue (pour l’instant), d’un temps où il ne serait venu à personne l’idée d’amener directement les victuailles du four à la table sans les faire transiter par un plat de service, et que ce dernier soit assorti à la vaisselle du jour !

parce que, c’est pareil, les assiettes, elles étaient choisies en fonction de leur forme et de leurs décors, jamais elles ne seraient allées voyager dans le four (ni à bois, ni à charbon, ni à gaz, le micro onde n’existait pas). et chaque boisson avait son verre sur la table : un pour l’eau, un pour le vin rouge, le troisième pour le vin blanc. c’est sûr que ça faisait bien joli et accueillant, toute cette vaisselle en valeur sur la nappe tissée du jour !

et puis, on ne vivait pas la vaisselle comme une corvée, puisque c’était le haut lieu des secrets de femmes…

faut dire qu’en ce temps là, la ménagère n’était pas caricaturée comme objet de phantasmes publicitaires… qu’elle ait ou non moins de cinquante ans, elle tirait fierté d’avoir suivi l’école ménagère, et son livre de chevet était le gros dictionnaire ménager des éditions Larousse, dans lequel on apprenait à fabriquer soi même savons et encaustiques… tiens, il faudrait penser à présent à créer la tombe de la ménagère inconnue, et notre président ferait bien de lui rendre un vibrant hommage annuel (tant c’est vrai qu’il aime annuel…)

 

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fierté de biffin

    Notez le bien    19 décembre 2017

« et vous croyez qu’ils seraient contents, les vieux, de vous voir vider leur logement ? »

oh que oui !

où qu’ils soient, je suis certain que les personnes âgées qui ont vécu dans les lieux que je vide sont contents

  • de voir que quelqu’un s’intéresse à ce qui les a intéressés dans le passé…
  • de savoir que la vaisselle sera nettoyée pour retrouver son lustre d’antan,
  • de constater que les meubles seront dépoussiérés et cirés en guise de cure de rajeunissement,
  • d’imaginer que les vieux outils vont se remettre au travail,
  • d’apprendre que le débarras ne prend pas la forme d’un combat de guerre où tout passe par les fenêtres sans autre forme d’intérêt que d’aller vite…

oh, oui, c’est sûr qu’ils préfèrent l’intervention du Père Yves plutôt que tout soit mis sur le trottoir la veille du passage des encombrants, pour finir en tas informe à la première déchetterie venue…

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magiques émotions

    Notez le bien    18 décembre 2017

« C’EST QUAND MÊME UN DRÔLE DE METIER, ce que vous faites… »

« ça doit pas être gai de vider des maisons… »

allez, prenons le temps de nous arrêter sur ce drôle de métier qui me passionne…

déjà, j’interviens assez peu dans le cadre de successions. le plus souvent, ce sont des personnes très âgées qui viennent de rentrer en maison de retraite. elles sont encore vivantes, et du coup leurs enfants sont moins « tendus » et l’ambiance plus sereine.

et dans un tel contexte, je vais être un des derniers à m’intéresser à la globalité de la vie de ceux qui viennent de déménager.

parce que, quand on vide entièrement une maison, on reconstitue plus de la moitié de l’existence de ses anciens habitants, que ce soit à travers leurs goûts de meubles, de décorations, de vaisselles, ou encore leurs choix de livres ou de disques… passionnant vous dis-je, et pas triste pour un rond !

ce sont les témoignages d’une époque révolue, un temps où on achetait des meubles en ayant soin qu’ils durent toute sa vie, et pas le temps d’une mode. ce critère privilégiait des bois nobles et denses, et des meubles chevillés ou vissés, qui ne s’écrouleraient pas au troisième déménagement…

et ces meubles là ne relevaient pas de circuits industriels. on sent encore la patte de l’artisan qui allait même parfois jusqu’à signer son oeuvre, tant il était fier de son travail.

et il y avait de quoi ! je pense à cette table de ferme tout en chêne, tellement dense qu’elle a survécu à l’incendie de la maison sans avoir une seule brûlure… bien sûr, elle m’encombre un peu depuis 3 ans qu’elle est là, mais je n’allais quand même pas mettre aux encombrants une table pareille ! elle a trouvé sa place et un jour, c’est sûr, quelqu’un aura le coup de coeur pour elle.

en ce temps là, les salons n’existaient pas, tout se déroulait dans le séjour, où on s’attablait tant pour manger que pour l’apéritif ou la conversation.

c’est aussi un temps où les chambres n’avaient pas la surface de petits studios, mais constituaient autant de cellules de repos aux surfaces restreintes. seulement, la salle de séjour était la pièce à vivre par excellence où tout le monde se retrouvait pour se parler, sans tablette ni internet.

n’allez pas croire pour autant que je n’apprécie pas la modernité. non, seulement j’apprécie aussi le charme de ces temps enfouis, où on savait s’attabler en silence pour contempler les flammes jouant dans l’âtre, dans une odeur d’encaustique répandue par des meubles souriants.

et puis, il y a la vaisselle !

à travers les cachets imprimés à leur revers, plats et assiettes nous invitent à un tour de France de notre histoire industrielle, lorsque les manufactures fleurissaient sur tout le territoire, qui près des forêts, qui près des gisements de terre, pour nous concocter d’improbables plats de service aux décors si variés. c’était surtout entre 1850 et 1950 (et là, quand même, j’étais pas né !)

n’oublions pas les verres, cette invention magique qui part du sable, le chauffe jusqu’au point de fusion qui nous donne ces gobelets magiques où le vin prend tout son éclat (avant de nous ramener, si on en abuse, sur… le sable !). il y en a des ronds, des longs, des petits, des grands, et pour chaque type de boisson.

point de desperados ou de mojito, en ce temps là, mais odeurs et couleurs de vins : des blancs, des rouges, des pétillants, des cuits, et une ribambelle de saints pour accompagner le repas du dimanche : saint Estèphe, saint Emilion, saint Julien, saint Véran, saint Joseph… avec un tel défilé, c’était plus simple de choisir les prénoms de ses marmots ! surtout que, sans chauffage central et sans télévision, la courbe démographique était plutôt ascendante…

allez, on arrête là pour aujourd’hui… mais promis on continue bientôt !

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achetez malin, achetez Biffin !

    Notez le bien    17 décembre 2017

depuis quelques temps déjà, j’ai pu observer que mes visiteurs avaient le plus souvent un billet de vingt euros dans la poche, destiné à se faire plaisir.

et chez le Père Yves, c’est possible !

comme les prix commencent à 1 euro, vous pourriez même ressortir de ses boxes avec pas mal de curiosités…

surtout que, côté goût, c’est plutôt divers.

le critère du biffin, c’est que ce soit en bon état, et point à la ligne !

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pour venir à l’atelier…

    Notez le bien    12 décembre 2017

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pour me contacter…

    Notez le bien    9 décembre 2017

VOUS POUVEZ POSTER DES MAILS A PARTIR DES ANNONCES qui vous intéressent !

mais vous pouvez aussi m’envoyer un mail directement à :

sanssouci.samedi.laurelli@gmail.com 

ou encore, me téléphoner au

06 16 925 154

bonne journée à toutes et tous,

le père yves

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Billet d’humeur

    Notez le bien    26 novembre 2017

c’est bien connu, quand les gros maigrissent, les petits crèvent, et c’est ainsi que les métiers domestiques se raréfièrent.

voire…

car le vieillissement de la population, conjugué avec la politique d’économies dans les structures à domicile, favorise le concept de « vieillissement à domicile »

et c’est là qu’on observe le retour des métiers domestiques !

seulement voilà, si toutes les personnes âgées peuvent en avoir besoin, leurs ressources ne le permettent pas forcément…

fin 2016, 433.000 personnes devaient leurs ressources au minimum vieillesse, et 1.000.000 de retraités vivaient en dessous du seuil de pauvreté.

pour ceux ci, les services ne sont accessibles que s’ils sont portés par une politique publique, tant il est vrai que l’entreprise capitaliste transfère à l’Etat les dépenses qui ne lui sont pas profitables à court terme.

c’est ainsi que, fin 2016, le secteur non marchand donnait du travail via les contrats aidés à 390.000 personnes

au même moment, 1.170.000 contrats aidés étaient accordés à des entreprises privées du secteur marchand.

or, et c’est même le Sénat qui le reconnaît, l’effet d’aubaine en matière de contrats aidés (Un effet d’aubaine se produit lorsqu’une mesure d’aide profite à un bénéficiaire qui, sans aide, aurait pris la même décision. ) se produit principalement dans les mesures prises en faveur de l’emploi marchand.

pour ceux ceux que ça intéresse, voici la source du Sénat :https://www.senat.fr/rap/r06-255/r06-25535.html

il est donc absurde, incohérent et injuste de supprimer les contrats aidés en direction du tissu associatif.

mieux vaut arrêter de subventionner les groupes inscrits au CAC 40 !

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Au fil du temps qui passe…

    Notez le bien    24 novembre 2017

Le père Taylor n’a rien inventé avec sa division du travail : aristocrates, châtelains et autres hobereaux de villages avaient déjà pensé à tout en organisant leur domesticité.

(sur ce point, merci à nos amis Canadiens, dont vous trouverez l’article complet sur  : http://ici.radio-canada.ca/emissions/downton_abbey/saison1/document.asp?idDoc=267057 )

Le majordome orchestrait les tâches de tous les domestiques masculins et veillait au bon fonctionnement de la maison. La cave à vin n’avait pas de secret pour lui, et c’était d’ailleurs son privilège que d’ouvrir quelques-unes des meilleures bouteilles.

L’intendante distribuait les tâches d’entretien au personnel féminin de la maison. Les dépenses quotidiennes et les achats pour la cuisine étaient sous sa responsabilité.

La cuisinière règnait sur la cuisine comme un général sur son armée. C’est elle qui veillait à la confection des repas, et ce, tant pour les maîtres que pour les valets.

Si le valet de chambre partageait l’intimité de ses maîtres en les aidant à la toilette et à l’habillement, le valet de pied était l’homme à tout faire de la maison, tandis que le valet de ferme était le manoeuvre extérieur.

Pendant du valet de chambre, la femme de chambre s’occupait de la garde-robe des dames de la maison mais aussi de les coiffer et les vêtir pour toutes les occasions, petites et grandes.

Les bonnes (car on trouvait plus d’une catégorie à ce poste) : celle qui s’occupe du ménage de la demeure, celle qui entretient les chambres et salles de bain, celle qui s’occupe de la couture et du petit ménage et celle qui est affectée aux gros travaux tels que la lessive, les pots de chambre à vider et le lavage des vitres.

La fille de cuisine était au service de la cuisinière.

Et n’oublions pas le chauffeur, chargé de véhiculer les maîtres, mais doit aussi s’occuper des chevaux et faire quelques petits travaux de réparation dans la maison.

N’allez pas le confondre avec le charretier, celui qui conduit carrioles et charrettes, et dont le vocabulaire diversifié a laissé son souvenir dans le dictionnaire… (vous remarquerez que le Biffin n’est pas dans cette liste ; n’en soyez pas surpris, car le Biffin, dont le vocabulaire se rapproche du charretier, était trop indépendant de caractère pour s’intégrer dans cette communauté là…)

Seulement voilà : leurs « maîtres » eurent des destinées contrariées…

Ceux qui avaient échappé à la Révolution Française furent rattrapés par l’impôt sur le revenu en 1914 (la guerre se chargeant ensuite de détruire leurs propriétés), et ceux qui tenaient encore debout durent accorder protection sociale et congés payés  à leur domesticité à partir de 1936 (la guerre se chargeant ensuite de finir de les mettre à genoux) .

Comprenons nous bien : mon propos n’est pas de faire pleurer dans le chaumières sur la disparition des roitelets de villages…

Seulement, quand les gros maigrissent, les petits crèvent, et c’est ainsi que les métiers domestiques se raréfient.

voire…

car le vieillissement de la population, conjugué avec la politique d’économies dans les structures à domicile, favorise le concept de « vieillissement à domicile »

et c’est là qu’on observe le retour des métiers domestiques !

seulement voilà, si toutes les personnes âgées peuvent en avoir besoin, leurs ressources ne le permettent pas forcément…

fin 2016, 433.000 personnes devaient leurs ressources au minimum vieillesse, et 1.000.000 de retraités vivaient en dessous du seuil de pauvreté.

pour ceux ci, les services ne sont accessibles que s’ils sont portés par une politique publique, tant il est vrai que l’entreprise capitaliste transfère à l’Etat les dépenses qui ne lui sont pas profitables à court terme.

c’est ainsi que, fin 2016, le secteur non marchand donnait du travail via les contrats aidés à 390.000 personnes

au même moment, 1.170.000 contrats aidés étaient accordés à des entreprises privées du secteur marchand.

or, et c’est même le Sénat qui le reconnaît, l’effet d’aubaine en matière de contrats aidés (Un effet d’aubaine se produit lorsqu’une mesure d’aide profite à un bénéficiaire qui, sans aide, aurait pris la même décision. ) se produit principalement dans les mesures prises en faveur de l’emploi marchand.

pour ceux ceux que ça intéresse, voici la source du Sénat :https://www.senat.fr/rap/r06-255/r06-25535.html

P.S. : j’ai écrit ce texte il y a pile 2 ans. C’est bête, depuis, je n’ai rien eu besoin de changer…

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les déballages du père yves

    Éphéméride    21 novembre 2017

dès qu’il fait beau, le Père Yves ne peut pas s’empêcher d’installer planches et tréteaux dans sa cour, et d’y présenter une partie de son butin…

et quand le temps à la grisaille, c’est même pas un problème puisque tout est accessible dans ses boxes (qui font plutôt l’effet d’une machine à remonter le temps quand on y rentre !) où vous serez à l’abri du vent et de la pluie (net avantage sur les vide greniers et autres foires à tout, parfois placés sous les signes de Ventôse et de Pluviôse réunis)

prochain déballage prévu JEUDI 23 novembre de 9H à MIDI

qu’on se le dise…

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  • Bonne Année !

    par sur 1 janvier 2020 - 0 Commentaires

    ça y est ! l’an 2 000 a vingt ans ! cette année, pour l’occasion, faut se creuser la tête un peu plus que d’habitude pour les voeux… Comme chantait Berthe Sylva,« on n’a pas tous les jours vingt ans… » traditionnellement, on se souhaite en début d’année la bonne santé et plein de bonnes choses… c’est […]

  • Bienvenue chez le Père Yves !

    par sur 23 décembre 2017 - 0 Commentaires

    N’oublions pas l’essentiel : je vous souhaite le bon jour ! *** Ici, ce n’est pas une brocante (un brocanteur, il achète ce qu’il va revendre ; personnellement, je n’achète rien.) C’est plutôt un joyeux bric à brac (certains disent un bazar, d’autres un capharnaüm, mais ceux là sont des médisants, hi hi hi). Vous […]

  • "défèque news"

    par sur 15 février 2018 - 0 Commentaires

    AVERTISSEMENT de l’AUTEUR l’ensemble de ce site est truffé de fake-news (aussi appelées « fausses nouvelles » ou « rumeurs ») MAIS c’est juste pour rire ! donc, il est plus urgent que jamais de préciser à tous mes amis lecteurs que : « La rédaction de ces annonces relève du seul imaginaire de son auteur. Si les objets sont […]

  • mais d'où ça vient donc tout ça ?

    par sur 4 janvier 2018 - 0 Commentaires

    vous devez vider une maison ou un appartement ? débarrasser une cave,  ou un grenier ? la cour ou le jardin sont à ranger complètement ? débarrassez vous de vos débarras ! encombrez moi de vos encombrants ! contactez moi… je m’occupe de vos encombrants, redonne vie à ceux en bon état, j’emmène les autres […]

  • pour venir à l'atelier...

    par sur 12 décembre 2017 - 0 Commentaires

    Vous aimez bien vous promener au milieu des vieilleries des temps enfouis ? Vous n’aimez pas aller dans des boutiques où on vous pousse à l’achat ? VENEZ chez le Père Yves, c’est un vide grenier toute l’année ! Et sous abri en plus…

  • Bienvenue sur ma planète

    par sur 1 janvier 2019 - 0 Commentaires

    « il vit sur une planète à part, le Père Yves… » et oui ! mais en plus, c’est une planète particulière. prenez la terre : plus il y a de monde dessus, plus elle se rabougrit et se met à chauffer. alors que, la planète écolonomique, elle respire la santé au fur et à mesure que […]

1 200 annonces encore disponibles (c’est le grand débarras !)

ça y est, le cap des 2.000 annonces en même temps est franchi pour la seconde fois ! j'ai un Paul Pogba qui s'éveille en moi (mais c'est le côté chanteur...)

pour le menu déco, cliquez sur l’image !

Avanti la musica

je chante, tu chante, elle chante, il chante... ils m'enchantent !