là, ça ressemble un peu à une petite faveur… Célestin, à part être pape pendant 10 ans (ce qui est déjà pas mal, on voyage, on voit des gens, y a des facilités…) il n’a rien fait de particulier.
mais bon, t’es pape, t’as ton nom dans le calendrier, c’est le job !
et d’ailleurs, Célestin fut très populaire, ainsi qu’en témoigne ce cantique des cantiques arrivé jusqu’à nous…
déjà, qu’on se mette bien d’accord : si le dicton du jour n’en avait pas parlé, je serais toujours aussi inculte avec ce drôle de saint !
à Cordoue, vers 850, l’émir tolérait que tous ses habitants ne soient pas musulmans mais… ceux qui étaient chrétiens croulaient sous les taxes, ce qui encourageait les conversions !
Euloge était archevêque à Cordoue, où il incitait les chrétiens à résister et, au besoin, leur offrait asile.
cela lui valut d’être fouette, avant d’être décapité.
okay, on peut considérer que pour lui, c’était un accident de travail, mais quand même…
Sainte Rosine
ermite des premiers siècles (c’est assez vague quand même), Rosine fut vierge et martyre.
débrouille toi avec ça mon gars, on t’en dira pas plus et bonne fête !
y a quelque chose de laxiste dans les fabriques de saints…
mais heureusement, le Père Yves est là, qui veille au grain.
Accrochez-vous, ça va décoiffer !
La petite Rosine, en fait, elle s’appelait comme sa maman : Rose.
Mais vous savez comment ça va, dans une famille, quand plusieurs ont le même prénom, on les distingue en en transformant un peu un. Par exemple, Michèle et Micheline, Marthe et Martine, Paule et Pauline, ça y est, vous avez compris, on arrête la litanie ?
Donc la petite Rosine, elle est née en Bavière, en Souabe pour être précis.
(Ici, il convient de préciser que la Bavière est le plus beau fleuron de la culture européenne
fin de la parenthèse)
Notons, que, au départ, on l’appelait Rose comme sa mère.
Seulement, à partir de l’âge de 7 ans, la pauvre Rosine fut envahie par une acné papulo-pustuleuse qui ira croissant et envahissant son visage.
C’est à ce moment là que sa maman suggéra qu’on l’appelle Rosine plutôt que Rose. D’une part, elle n’avait plus du tout envie qu’on lui dise que sa fille lui ressemble. Et en plus, elle fit valoir à son mari que toutes les gosses du village se moqueraient d’elle à l’école, en lui demandant “combien la rose a de boutons aujourd’hui ?” ou encore “pour une rose, t’es plutôt fanée avant l’heure…”
Voici d’ailleurs la raison pour laquelle elle resta vierge : il n’y avait pas d’aveugle à marier dans le village.
Comme les antibiotiques n’existaient pas à l’époque, cette acné papulo-pustuleuse se compliqua de troubles digestifs dont mourut la pauvre Rosine qui était une si gentille gamine.
Emu par son calvaire, le curé du coin fit en sorte qu’elle fut canonisée, ce qui était quand même bien la moindre des choses après une vie de merde pareille !
8 février : Sainte Joséphine, allez tous en choeur, hommage à Joséphine Baker
“Je suis gobé d’une petite
C’est une Anna, c’est une Anna, une Annamite
Elle est vive, elle est charmante
C’est comme un z’oiseau qui chante
Je l’appelle ma p’tite bourgeoise
Ma Tonki-ki, ma Tonki-ki, ma Tonkinoise
D’autres me font les doux yeux
Mais c’est elle que j’aime le mieux. !”
(par contre, je ne savais pas qu’elle avait été sanctifiée…)
Oups, c’était pas Sainte Joséphine Baker, mais sainte Joséphine Bak… hita !
je me disais aussi que quelque chose clochait…
Donc, Joséphine Bakhita, elle était esclave au Soudan. Et, à ce tître, elle a été vendue plusieurs fois comme une simple marchandise…
enfin rendue libre, elle entre au couvent (ce qui témoigne quand même de son peu de goût pour la liberté…) où elle écrit son histoire dans un livre paru en 1931 : Histoire Merveilleuse.
(en 1931, Joséphine Baker commençait sa carrière éblouissante au casino de Paris, mais c’est une autre histoire…)
je ne me prends ni pour Marcel Aymé ni pour Guy Béart. j’ai juste eu envie d’écrire une suite à leur chanson poéme, un peu comme les exercices de rédaction qu’on avait à l’école pour “imaginer la suite”
S’cuse moi Marcel mais j’l’ai r’trouvée la Chabraque que t’avais aimée et que Guy chante avec ses tripes alors permets que j’ouvr’ ma lippe…
C’était une brune fine aux yeux noirs qu’a débarqué dans mon espoir j’savais rien d’elle ou bien si peu le mystère ça rend amoureux on a vécu des moments fous jusqu’à c’que débarque le chien loup… qui fit qu’un corps s’donnant à moi s’est transformé en boude boit froid…
Ma Chabraque, ma Chabraque, t’as marqué mon coeur, j’suis patraque Ma Chabraque, ma Chabraque, dis il sortait d’où, ton chien loup ?
Est-ce que t’iras de ville en ville en poursuivant ta traque tranquille ? est-ce que tes beaux yeux ténébreux ont encore soif de malheureux ? la seule chose que je sache ma foi c’est que tu agis malgré toi… Est-il mort, vivant, dur, doux, ou bien en ton âme le chien loup ?
Ma Chabraque, ma Chabraque, t’as marqué mon coeur, j’suis patraque Ma Chabraque, ma Chabraque, dis il sortait d’où, ton chien loup ?
Si j’avais su qu’y en avait un j’aurais au moins fait gaffe au chien ! mais t’as rien dit et t’as souri bonne pomme, je m’fis pas trop d’soucis… maintenant je sais qu’avec un masque, on peut paraître mais être Chabraque… Allez, bonne route et dis toi bien que j’tai menti vraiment sur rien !
Ma Chabraque, ma Chabraque, t’as marqué mon coeur, j’suis patraque Ma Chabraque, ma Chabraque, dis il sortait d’où, ton chien loup ?
déjà, charité bien ordonnée commence par soi-même, donc démarrons avec la famille en souhaitant bonne fête à Tonton Raymond (et même que, si sa santé le permet, j’irais bien en Alsace en février)
avec saint Raymond de Penafort, nous fêtons aujourd’hui les véliplanchistes !
Rigolez pas, c’est tout ce qu’il y a de plus vrai.
Figurez-vous que, le Raymond, il avait un contentieux avec le roi d’Aragon.
Donc, y avait le roi d’Aragon qui voulait l’isoler sur l’île de Majorque.
Et ben Raymond, ni d’une, ni de deux, il a enlevé son manteau, l’a lancé sur l’eau et a rejoint le continent en flottant dessus.
Moi, mon tonton Raymond, il n’est pas véliplanchiste, mais il a tenu une teinturerie où il s’occupait des manteaux des autres pendant des années… je comprends mieux…
2 janvier : Aujourd’hui on va fêter les Grégoire et les Basile.
Saint Grégoire
Grégoire, il est né comme Basile en Cappadoce (cherchez pas, c’est en Turquie, dans la région d’Anatolie) qui était visiblement une terre fertile en sainteté.
Le père de Grégoire était juif, s’est converti et a fini évêque, ce qui montre bien que “quand on veut on peut” !
Quant à Grégoire, même s’il fut évêque, c’est par ses poèmes que l’Eglise lui a conféré la sainteté.
et ça, vous vous en doutez, ça me plaît beaucoup beaucoup !
Saint Basile
Figurez-vous que Basile a grandi dans une famille de 10 enfants, où on dénombra également 2 évêques, 2 religieuses et 1 ermite !
En fourguer 5 sur 10 au clergé, c’était un moyen comme un autre pour éviter la prolifération exponentielle de la tribu.
Chez nos amis Grecs, c’est Saint Basile qui incarne la figure du Père Noël.
Profitons-en donc aujourd’hui pour souhaiter Joyeux Noël aux Grecs !
Allez, une petite chanson pour continuer la fête :
« Où vas-tu Basile
Sur ton blanc cheval perché?
Je vais à la ville
Le vendre au marché.
Ton cheval claudique,
Mais vois-tu pour t’obliger,
Contre un’vache magnifique
Je peux l’échanger
Sitôt dit, sitôt fait:
“Bonne affaire'” se dit Basile.
Sitôt fait, sitôt dit, Basile est un dégourdi !»
Etienne fut lapidé en l’an 35 pour avoir été chrétien.
La sagesse populaire s’en est émue et, afin que cette atrocité ne soit jamais oublié, en a conçue un cantique que la tradition orale a perpétué jusqu’à nous.
Enfant des bords de la Loire,
J’ n’ai qu’un tout petit défaut,
C’est d’aimer chanter et boire
Ça n’ nous fait ni froid ni chaud
Saint Etienne est mon patron
Et chacun dit sans façon :
A la tienne Etienne A la tienne, mon vieux ! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous des frères A la tienne, Etienne, A la tienne, mon vieux! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous heureux !
Ma moitié qui n’est qu’un’ buse
Vient toujours, c’est son secret,
A tout’s les fois que j’ m’amuse,
Me chercher au cabaret
En riant d’un tel potin
Tous me dis’nt le verre en main :
A la tienne Etienne A la tienne, mon vieux ! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous des frères A la tienne, Etienne, A la tienne, mon vieux! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous heureux !
Coiffer ma femm’ d’un’ calotte
Je n’aurai p’t-êtr’ pas raison
Surtout qu’ell’ port’ la culotte,
Comme on dit à la maison ;
Mais j’ suis né bon paysan
Et j’ vas m’ soûler en disant :
A la tienne Etienne A la tienne, mon vieux ! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous des frères A la tienne, Etienne, A la tienne, mon vieux! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous heureux !
Elle vient de mettre au monde
Un moutard solide et beau
Il a la peau rose et blonde,
Moi, j’ suis noir comme un corbeau ;
Mais quand j’ai vu tant d’émoi
Je suppos’ qu’il est à moi !
A la tienne Etienne A la tienne, mon vieux ! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous des frères A la tienne, Etienne, A la tienne, mon vieux! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous heureux !
Pour montrer que j’ suis un homme
Parfois je m’ fâche, emballé,
Aussitôt la gueus’ m’assomme
A grands coups d’ manche à balai
Et j’ m’en vais clopin-clopant
A l’auberge en répétant :
A la tienne Etienne A la tienne, mon vieux ! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous des frères A la tienne, Etienne, A la tienne, mon vieux! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous heureux !
Quand délaissant la colombe,
Au cim’tière, je m’en irai
Point de discours sur ma tombe
Mais pourtant j’exigerai
Qu’ mes bons amis d’autrefois
Vienn’nt chanter tous à plein’ voix :
A la tienne Etienne A la tienne, mon vieux ! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous des frères A la tienne, Etienne, A la tienne, mon vieux! Sans ces garc’s de femm’s Nous serions tous heureux !
Fille du Roi Dagobert II et grand mère de saint Grégoire, tu m’étonnes qu’ils lui aient trouvé une place dans le calendrier !
Car, si j’en crois le révérend André Bourvil, elle était plutôt agitée dans son jeune temps, comme en témoigne ce cantique :
“Adèle ! ta maman t’appelle ! Veux-tu rentrer, viens vite à la maison Adèle ! ta maman t’appelle, tu n’auras donc jamais l’age de raison ! Si tu n’as que l’envie d’aller t’amuser avec les garçons, Tu verras dans la vie, que d’courir ainsi, c’est pas des façons ! Adèle ta maman t’appelle ! Veux tu rentrer bien vite à la maison Adèle ! “
11 novembre : saint Martin de Tours (et bien évidemment, anniversaire de l’armistice de la première guerre mondiale, mais même ce jour là on fêtait la saint Martin !)
alors, aujourd’hui, prenez vos aises, because y a de la matière…
l’histoire de Martin, vous la connaissez déjà bien sûr, mais bon…
notre Martin est né en Hongrie, où son paternel, soldat romain, stationnant en garnison, en avait profité pour garnir sa femme aussi. et je vous prie de croire qu’il a choisi ses meilleurs chromosomes lors de leur fabuleuse luxure qui n’avait rien à voir avec l’esprit saint…
mais à l’époque, les fils de soldat devaient également participer à l’armée quand ils avaient 15 ans (genre tu seras un homme mon fils) et c’est ainsi que Martin fut affecté comme soldat en Gaule (chez nous, quoi).
arrivé à Amiens, il rencontre un pauvre claquant des dents tant il avait froid. ni une ni deux, il enlève son manteau et lui donne !
à ce moment là, il est lui même tout surpris (“diantre, mais serait ce que je serais bon ?”) et en tire la conclusion qu’il est plus fait pour le monastère que pour l’armée de métier. (tu parles, il s’est surtout dit que l’armée était à cheval sur son matériel et qu’il allait passer un sale quart d’heure… alors, comme à présent il se pelait grave, il a aussitôt pensé au confort inimitable d’une belle robe de bure !)
le voici donc déserteur mystique à Tours, où son monastère a tellement bonne réputation que les habitants de Tours viennent l’y enlever pour en faire leur évêque.
Ajoutons que la saint Martin, en général, c’est la période où l’hiver commence à s’installer. Oui mais… Quand au lieu du gel il y a redoux, on parle d’été de la Saint-Martin, aussi appelé été indien.
Tonton Georges nous parle d’ailleurs de l’été de la saint martin dans cette fort belle chanson qu’adorait Püppchen…
Concernant le 11 novembre, je vous ai déjà dit que j’avais une arrière grand tante, Tanie, qui a vécu jusqu’à 100 ans. et, plus que mon arrière grand tante, c’était ma grande amie, chez qui je passais à tout bout de champ et qui me racontait des histoires, des sacrées tranches de vie…
ainsi, le 11 novembre 1918, elle travaillait dans les bureaux à la Nobel quand la nouvelle se répandit. la Nobel étant une dynamiterie, on aurait pu penser que la direction concevrait un vif chagrin angoissant à l’annonce de la fin des hostilités !
et bien, pas du tout !
le patron était tellement content qu’il a invité l’ensemble des bureliers à aller manger au Cheval Blanc à Honfleur (aujourd’hui, ce n’est plus qu’un hôtel, mais longtemps ce fut un sympathique restaurant dont les salles à manger emplissaient tout le rez de chaussée de l’immeuble – là où se trouvent à présent 4 boutiques…)
là, on est en plein Berthe Sylva dans on n’a pas tous les jours vingt ans…
“L’patron donn’ congé à ses p’tites Et comm’ le printemps leur sourit, A la campagne ell’s vont tout d’suite Chercher un beau p’tit coin fleuri. Dans une auberge, en plein’ verdure, Ell’s déjeun’nt sur le bord de l’eau, Puis valsent au son d’un phono En chantant pour marquer la m’sure :
On n’a pas tous les jours vingt ans, Ca nous arrive un’ fois seul’ment. C’est le jour le plus beau d’la vie, Alors on peut fair’ des folies. L’occasion il faut la saisir. Payons-nous un p’tit peu d’plaisir, Nous n’en f’rons pas toujours autant, On n’a pas tous les jours vingt ans !”
rappelons incidemment que l’automobile n’était alors pas de mode et que tout ce petit monde est descendu à pied gaiment de Ablon (la Nobel du Haut) à Honfleur, où un sacré gueuleton les attendait.
dans la liesse générale, ils burent plus qu’à l’accoutumée et, en sortant du restaurant, ils étaient ronds comme des queues de pelle mais tenaient encore debout (valait mieux pour le retour)
du coup, dans leur moment de folie, tout le monde a pris le chemin du retour en activant chaque sonnette qui se présentait à leurs joyeux doigts…
en fait de lendemains qui chantent, son fiancé (un vrai de vrai à l’ancienne) est revenu du front, mais pas en 1918, ni en 1919 d’ailleurs, mais… en 1920 ! elle a trouvé que le chemin du retour avait été un peu long, a rompu les fiançailles et ne s’est jamais mariée par la suite, sans être plus aigrie que ça par la gent masculine, et en conservant jusqu’au soir de sa vie un sourire au fond de ses yeux bleus. c’est peut être pour ça qu’elle a fini centenaire ?
en même temps, comme le frère de sa soeur, lui, avait profité des embarras administratifs de la première guerre mondiale pour se marier une seconde fois en toute légalité, vous concevrez que sa soeurette n’était pas formidablement réjouie d’être la première épouse d’un bigame, ce qui fait que ses deux enfants (dont ma grand mère) ont beaucoup été élevés par Tanie…
entre nous, je préfère de loin ma façon de commémorer le 11 novembre à celle de Napoléon IV, qui va chercher dans les limbes de l’histoire de France pour distinguer les “héros” de la grande boucherie…
en 286, l’empereur Maximien eut l’idée saugrenue de vouloir exterminer tous les chrétiens. pour cela, il fit venir une légion d’Egypte. seulement, il aurait mieux fait de se renseigner avant car les 6.000 légionnaires qui la composaient étaient… chrétiens !
ils refusèrent donc d’exécuter cet ordre.
et en conséquence, furent exécutés par d’autres…
c’est le décurion Maurice qui était leur chef…
Bourvil l’a célébré à sa manière dans cet inoubliable succès de 1962
“Maurice, Maurice I’ faut qu’ tu réussisses Maurice, Maurice On attend ça de toi Maurice, Maurice Fais bien ton exercice Et surtout souviens-toi Que deux et deux font trois“
une musique permanente dans ma p’tit’ tête me berce me rassure foraine fête bien classique une fente dans l’armure rouillée à l’intérieur perforé par la peur
N’oublions pas l’essentiel : je vous souhaite le bon jour ! *** Ici, ce n’est pas une brocante (un brocanteur, il achète ce qu’il va revendre ; personnellement, je n’achète rien.) C’est plutôt un joyeux bric à brac (certains disent un bazar, d’autres un capharnaüm, mais ceux là sont des médisants, hi hi hi). Vous […]
vous devez vider une maison ou un appartement ? débarrasser une cave, ou un grenier ? la cour ou le jardin sont à ranger complètement ? débarrassez vous de vos débarras ! encombrez moi de vos encombrants ! contactez moi… je m’occupe de vos encombrants, redonne vie à ceux en bon état, j’emmène les autres […]
AVERTISSEMENT de l’AUTEUR l’ensemble de ce site est truffé de fake-news (aussi appelées “fausses nouvelles” ou “rumeurs”) MAIS c’est juste pour rire ! donc, il est plus urgent que jamais de préciser à tous mes amis lecteurs que : “La rédaction de ces annonces relève du seul imaginaire de son auteur. Si les objets sont […]
Vous aimez bien vous promener au milieu des vieilleries des temps enfouis ? Vous n’aimez pas aller dans des boutiques où on vous pousse à l’achat ? VENEZ chez le Père Yves, c’est un vide grenier toute l’année ! Et sous abri en plus…
“il vit sur une planète à part, le Père Yves…” et oui ! mais en plus, c’est une planète particulière. prenez la terre : plus il y a de monde dessus, plus elle se rabougrit et se met à chauffer. alors que, la planète écolonomique, elle respire la santé au fur et à mesure que […]
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok